entretien avec Thierry Murat
1867. Le photographe Joseph Wallace quitte sa ville de Pittsburgh pour participer à une mission d’exploration à l’ouest des États-Unis. Avec des scientifiques, il répertorie les territoires que le gouvernement souhaite coloniser.
Dans son voyage, Wallace découvre avec passion des Indiens qu’il photographie. Une société qui bientôt n’existera plus…
Thierry Murat nous présente ‘Etunwan, celui qui regarde’.
Pour imaginer ce récit, Thierry Murat s’inspire du photographe Edward S. Curtis :
Mais il ne souhaitait pas raconter sa vie :
Thierry Murat est fasciné par ces auteurs-aventuriers :
Dans ce récit documenté, l’auteur souhaitait faire parler les Indiens dans leur langue :
Il a bénéficié des connaissances de Slim Batteux pour écrire cette langue indienne, le Lakota :
Comme pour ses albums précédents (‘Le vieil homme et la mer’, ‘Au vent mauvais’, ‘Les larmes de l’assassin’…), Thierry Murat utilise un lettrage bien particulier :
‘Etunwan, celui qui regarde’. Thierry Murat. Futuropolis